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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 12:13

GENERATIONS DU TEMPS

Tous différents et pourtant si semblable, ne fuyez pas devant une main qui se tend

Espérer un regard, le voilà qui se pose, une oreille attentive, la main qui se propose. Sans un découragement, sans tristesse excessive, tramant une gaîté à l’intérieur de soi, faisant pour tous les autres ce qu’on ferait pour moi, du moins, j’ose le croire. Refusant de comprendre que les temps ont changés et que l’éducation qu’il m’a été donné au siècle précédent peut faire encore l’affaire. Croyant ou bien athée, ils jouent dans la même cour, le requin blanc féroce est l’égal du gris, le ronronnement du chat cache l’instinct du fauve comme l’éléphant, bien calme en apparence mais qui par sa puissance écrase sans émoi.

Si l’amour du prochain n’est pas une sinécure, l’amitié à sa cour en un milieu intact . C’est l’une des vertu qui résiste au temps mais qui devient très rare transformé très souvent en relation banale qui mon dieu....est également valable et riche sur bien des plans, apportant quant il faut le charbon de la vie qui chauffe notre corps et son intelligence. S’apportant mutuellement, l’expérience de l’autre, enrichi d’un milieu parfois très différent, faisant un ensemble qui loge l’être humains au rang de supérieur au vu de 1’animal, qui pourtant par moment par son comportement, se tient bien mieux debout. Il garde son instinct s’affronte comme toujours,  pour ses valeurs acquises, sans dégénération ni perte d’identité.

Alors que nous humains nous perdons ces réflexes sous le masque de la vie, produit de notre intelligence qui n’est autre qu’un écran qui forme des barrières créant la différence entre générations ou dans d’autre coutume, oubliant doucement, nous les bien pensants que la base d’une bonne éducation est la même qu’avant.

L’un ne vit pas sans l’autre, il lui apporte foi comme pour un faire valoir ou bien pour laisser trace à une référence, pour un guide ou un but que l’on voudrait atteindre

Ou encore l’exemple d’un échange équitable pour l’harmonie d’un peuple en parfait équilibre, se rappelant parfois que le voisin du bas aspire à vous rejoindre si peu qu’on prenne la peine de se pencher un peu et descendre quelques marches pour le voir arriver en cherchant dans son coeur le plaisir de donner et former cette chaîne que l’on ne peut fixer par ses extrémités car en est ainsi.

 Maillon par maillon, la chaîne est d’un seul bout, accrochée où il faut, savamment dégradée, tirant dans le même sens, malgré la dure loi de la vie condamnant le premier et dernier à jamais se toucher sans vraiment d’importance si la chaîne est unie. Travaillant d’une même force pourvu que le partage soit source d’équitable et si ce n’est le cas c’est en parti à cause de ceux qui tirent au centre pour faire la soudure entre le bas et  haut, qui vivent masqué de leurs satisfactions, ne voulant cautionner ce qu’ils voient par le bas pour ne pas compromettre leur chance d’aller plus haut. Et l’incompréhension s’installe doucement, la cassure s’élargie. Chacun pense qu’a lui et le défavorisé est laissé de côté. La valeur individuelle n’est rien sans être accompagné d’un esprit de groupe et d’équité.

 

Albert Stévenot

 

 

 

 

  mon sacré de Birmanie

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24 juin 2011 5 24 /06 /juin /2011 08:36

 

Le chat-chien      Il y a 17 ans

L’humain et l’anima! sont étrangement liés dans leur comportement nous choisissons un animal pour des causes diverses, pour de l’autorité qui nous manque par ailleurs ou bien nous recherchons une compagnie, du calme ou de la turbulence, une complicité, un peu d’amour ou bien encore on est pris de pitié, de fierté de snobisme indifférent, dépendant, bourreau ou esclave, craintif, inquiet, malheureux, dominateur ou condamné à subir, avons nous l’avantage?, ou sommes nous envahi Le mieux c’est l’équilibre, chacun donnant à l’autre pour une bonne harmonie.

Parfois c’est hors nature, quant on veut transformer un gentil anima! en féroce soldat. Appelé sous les drapeaux du temps de mes 20 ans, j’étais maître de chien et j’ai vu rendre méchant des épagneules bretons que l’on expérimentait du temps de l’Algérie, alors que mon berger qui savait attaquer aurait préféré jouer ou courir !e lapin

Plus tard, beaucoup plus tard nous avons eu Youki pris à la S.P.A., choisi pour son grand calme, mais je ne savais pas qu’à !‘heure ou je !e vis il était fatigué d’une longue randonnée et j’ai appris très vite qu’il cachait bien son jeu, mais l’équité fut faite entre nous deux . Il se sauvait souvent et revenait la nuit aboyant sous nos fenêtres pour me dire que j’avais du culot de le laisser dehors, allant même, une fois, m’ouvrir !a main comme un féroce chien parce qu’il ne supportait la fessé méritoire

Il aimait la bagarre, comme un vrais amusement, m’amenant très souvent à !a faire avec lui, il devait s’échapper de l’emprise de mes bras, mes doigts bloquant sa tête et autour du museau. Essoufflé tous les deux et moi les mains meurtries je lui en imposé ou parfois c’était lui et quand c’était le cas il avait le rictus de celui qui sourit, heureux de toute façon d’avoir participé à son jeu favori ce corniot...je l’ai gardé 18 années..

Le temps passe forgeant notre philosophie, évoluant sur l’idée du choix de l’animal, comme par exemple un chat la race des félins, au détriment du chien mais cherchant malgré tout une lointaine ressemblance pour la fidélité même si en réalité il n’y a pas de” chien -chat” mais . . il y a des chats-chiens” du moins, moi je le pense.

Le chien peut être noble et avoir de la classe mais il aurait tendance à mettre ‘les pieds dans le plat” alors que pour le chat tout est dans la souplesse prenant plaisir au saut entre deux porcelaines sans que ça dérange, comme une ombre légère se déplaçant sans bruit

Le passage du chien à celui du félin peut être une longue histoire, sorte d’évolution inspiré par la sérénité, s’éloignant de toute agitation et d’un état d’esprit quelque peu baroudeur.

Le chat est bien plus coule alors que son ami a un côté “tornade”, un corps qui bouscule, une queue qui se balance, des pattes sympathiques qui marquent son passage, le poil tout mouillé qui vient s’ébouriffer, il a une vie sportif, sa présence est physique, alors que pour le chat c’est un autre schéma avec un art de vivre qui me ferait penser au général DE GAULLE quand il vivait chez lui

Le chat, il est indépendant, marqué par ses désires avec aussi les nôtres, pas toujours concordant. Il vient vous voir que s’il en a envie, se laisse caresser si c’est bien le moment et si vous insistez il montre son mécontentement selon son caractère en montant sur un meuble s’il est fier, en dessous s’il boude ou en sortant ses griffes comme un seigneur marquant, sans aucune rancune, les limites à ne pas passer pour vivre avec lui en bonne intelligence

Chat ou chien ça ressemble à un choix de société donnant à réfléchir en rayant le hasard, même si à cet instant c’est histoire d’écrire pour justifier le choix de mon félin avec «  un poil » de chien

Il s’appellera JASON, sacré de Birmanie, au yeux d’un joli bleu et à son âge adulte, il sera majestueux et aura dans sa vie la place qu’il mérite, me faisant revivre, quelque part, une enfance marquée en continu par l’amitié des chats aux multiples dessin que l’on nomme gouttière ou chats européen, qui ont leur caractère, prouvant si nécessaire que le choix dans la race entre le chat commun et celui d’un Birmane offre diversité autant que entre le chat et son ami le chien comme pour comparait l’heure du jour et de la nuit.

 et et ....toujours vivant

 

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