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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 00:00

Le défi 89

Un coin de mon enfance, un coin de tout un règne.

Du sable , des pierres,de l'air et aussi des châtaignes.

Ma jeunesse, des enfants un chien et des ballades

Rituel hebdomadaire, sauf quand on semblait malade.

Vous les jamais contents si il n'y a pas changement

Nous c'était peut-être pareil mais toujours différent

Respirant et faisant de longues marches groupées,

 Resserrant le lien familiale sans l'air de s'en douter.

Pas d'accroc à l'ordinateur ni  téléphone portable.

Le cul sur notre chaise, que quand c'était à table.

Voilà la différence avec nos belles années  50/60 

Et la vie des actuels aux simplicités  bien absente.

La forêt de Piscop et sa sablière est resté magique.

Où les souvenirs présent encore dans la pratique.

Car parfois je retourne fouler tous ces chemins 

Et je vois que le desert n'est pas pour demain.

La forêt est souvant habité par les générations

Qui sont comme moi libre de leur imagination.

A penser que c'est un coin à eux en exclusivité.

Peut importe que chacun cherche à se l'atribuer

Comme une part de vie que l'on place en pensées

Dans ses souvenirs plaisants qu'on a pas oublié

Albert 4 Novembre 2012



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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 08:00

Je regarde le jet d'eau qui jaillit du bassin,

la détente est forte, c'est un anti chagrin.

 

Regarder l'eau coulée c'est le vide sympathique

pour médité au clapotis d'un sonore aquatique,

 

qui écarte tout les bruits et mauvaises pensées.

C'est comme une bouée qu'on vous aurez lancée.

 

Regarder ce jet d'eau puis écoutez son bruit

il vous rentre dans la tête et vide votre esprit.

 

La détente est certaine à la vue de cette eau,

c'est le remède miracle pour vider son cerveau.

 

J'aime aussi l'écouter chanter sa mélodie

en fermant les yeux pour un voeu réfléchi.

 

Pour moi ça vaut bien une cure de repos,

 je regarde devant, sans une pensée de trop.

 

Le noir de mes pensées ont quitté mon esprit,

quand je fixe le bassin et son jet qui jaillit.

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26 juin 2012 2 26 /06 /juin /2012 19:35

P1040376.JPGcelle la est plus classique

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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 08:00

 

Mon prénom, choisi par ma mère,  Albert,

Comme celui donné à mon grand père

Je roule ma bosse depuis 72 ans...

J'écris mais ce n'est pas souvent

Sans culture, je connais mes limites

Rien ne m'effraie , voyons la suite...

80 jours, 80 mots , quelle affaire !

En 80 j'avais 40 ans et tout pour plaire...

Mais ne me prenez pas pour prétentieux

A la retraite, je vous fait un voeu pieux

D'être en forme longtemps

Pour écrire au grès du vent ...

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 18:36

 

ça fait 3 cm

P1040402P1040403

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28 mai 2012 1 28 /05 /mai /2012 08:29

DEFI 82 et les poissons

L'histoire du  poisson chat  qui avait  le gros ventre tacheté

 

 

Nageant avec son  sabre, un peu genre  maquereau  pour chasser  le loup avec son  poisson pilote  qui se faufilait comme une  anguille  à la lueur du poisson lune  et  de Saint Pierre,  alors que le  barbeau  buvait au  bar  en frétillant comme un  gardon,  tenant une  perche  pour dresser le  mulet  qui voulait l  'en brochet  en présence du  barbu  dégustant  l'anchois  en faisant les  gros yeux  à la  chauve souris de mer  se faisant réparer les ailes auprès du  cordonier  qui se nommait  Jöel  baillant comme une  carpe  en présence d'une  sardine  qui tapait du  tambour  sur le  sol  carrelet  aux jolies  raies marbré,  la bouche   baveuse  devant le  sanglier  et la bécasse de mer  se moquant de  l'ablette  plus ou moins  e-tanche  s'envolant comme  un ange des mers  au  thon blanc  et parfois  rouget  comme une  rascasse  faisant penser à une  vieille coquette  é  mu rêne à la lueur d'une  torche  absous par le  prêtre  chiqueur qui fini en ce  lieu.......en bénissant ses  sandres.

 

 

Signé la torpille noire et le requin marteau

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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 08:00

Je dessine un pré vert pour dire non au béton

Je dessine un visage sur le mur des maisons


Je dis non à tous ce qui est moche et sot

Je dis oui à la couleur de mes pinceaux 


Je dis oui avec le sourire provenant de mon coeur

Je dis non à ma peine et je chasse mes pleurs


Insensible aux menaces venant du professeur

Je joue le cancre pour mieux jouir du bonheur


Et créé le visage  d'un bonheur épanoui

Au lieu d'un calcul sur le tableau écrit


Par celui qui voulait à tout prix m'enseigner

Alors que sur le coup, je voulais que rêver


Mais voilà le rêve passe, et vient le moment

Où la raison l'emporte, scrutant le firmament


 La craie ou bien aussi le crayon de couleur

Peut calculer comme le voulait le professeur


Amis faite attention, sous le cancre de Prévert

Se cache à tout les coups un esprit, je l'espère


Qui va se révéler au nom de la diversité

A côté, au milieu, au sein de notre société


Pour former le panel idéal d'une population

Comme une chaîne unie qu'on appelle Nation. 

Albert

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19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 00:00

Défi 77

 

Le temps est incertain, il y a avis de tempête et on prévoit après demain samedi un concert sur le sable .

Vendredi et la nuit font apparaitre une plage de désolation, pleine de déchets de toutes sortes, de la paille, des branches, des poissons morts et divers plastiques comme une sandale ou un morceau de gouttière, mais le beau temps est revenu comme par enchantement.

La marée a fait une partie du nettoyage et nous, nous faisons le reste.

Mon œil exercé se cristalise sur un point minuscule parmi les débris devant moi.

Un point de couleur verte, à demi caché par des branches.....Un morceau de bouteille ?   Un pierre précieuse ?  Apparemment c'est du jade, je veux le prendre mais ça résiste, je tire.....C'est tout un collier, enfoncé dans le sable et en parfait état une fois rincé dans l'eau.

Quelle découverte ! C'est ma journée, j'ai fait une bonne affaire que je mets dans ma poche, me mouillant le côté de mon pantalon pour quelque temps.

C'est sans importance, le soleil est là pour me le sécher.

La plage est maintenant impeccable, le podium est prêt, l'orchestre peut s'installer près du plancher de la piste de danse...

La soirée bat son plein, il y a même un feu d'artifice qui se prépare et moi, un peu fatigué et ennivré, je traine, ici et là, peut être à la recherche de l'âme soeur...

Tout à coup à travers la lune j'aperçois une ombre sur un rocher, qui me fait penser à la petite sirène du port de Copenhague

243copenhague petite sirene sur rocherImmobile, a moitié nue, comme un rêve posé sur son écrin, ressortant du rocher blanc, éclairé par l'astre de la nuit qui me frappe aussi dans le dos, me poussant vers elle.

Elle me regarde en souriant mais ne répond pas à mes avances, me laissant bredouiller des paroles décousues tant que je suis ému de voir la grâce jaillir de ce corps, représentant la beauté de la femme dans toute sa noblesse.

Impressionné je me risque tout de même à l'approcher et instinctivement je mets la main à ma poche...  J'en sort doucement le collier de jade, la regardant à travers celui-ci, formant un cadre en la mettant  encore plus en valeur et m'approche au plus près pour lui mettre autour du cou.

Son visage devient douceur, en me regardant elle joint ses mains enlacées dans le jade pour me remercier avec un mouvement pieu de la tête. Je suis heureux sans rien demander d'autre et je m'endort, assis, la tête près de son corps.

Le soleil est déjà haut dans le ciel et la marée monte au bout de mes pieds, me réveillant, surpris d'avoir passé le reste de la nuit sur la plage sans rester éveillé pour profiter de ce miracle.

Etait-ce un rêve ?

Non !......

Ma poche est vide, je n'ai plus mon collier de jade et ma sirène à laissé ses pas dans le sable s'éloignant vers la ville, me laissant un « merci mon prince » et un prénom gravé dans le sable que la mer vient d'effacer mais qui restera marqué dans mes souvenirs pour me créer un but, celui de la retrouver un jour, au hasard d'un clair de lune maritime......

Mais ça c'est une autre histoire.....

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 08:00

76 de pioche et Roy

 

Au 76 rue du défi, il y avait une arrière cour où un petit monsieur tuait le temps comme il le pouvait, assis sur le banc près de sa porte d'entrée qui connaissait depuis toujours. C'était un petit 3 pièces pour lui tout seul, car à force de courir deux lièvres à la fois ou de tenir la chandelle, il en avait déçue plus d'une et pourtant le petit homme avait le cœur sur la main et s'envoyer en l'air pour lui n'était pas un problème ; Certes un peu bourru, comme on dit, genre ours mal léché parfois, mais ce n'était qu'une apparence. Sans sortir de la cuisse de Jupiter, il avait l'esprit vif et pour une femme aimante il aurait décroché la lune. Bon vivant, mais il n'avait jamais fait les 400 coups ni raconter des Histoires à dormir debout. Non il suivait son petit bonhomme de chemin au pied de la lettre, comme un schéma tracé pour lui, avec ses nombreux souvenirs et son expérience et quand on lui racontait des histoires, il ne fallait pas essayer de lui faire avaler des couleuvres . il avait la dent dur pour les menteurs ou ceux qui voulait noyer le poisson en essayant de se reprendre un peu en lui léchant les bottes, pour lui c'était comme un coup d'épée dans l'eau. Au premier abord il ne payait pas de mine mais gagnait à être connu, comme on dit. Un peu introverti, il devenait loquasse si il vous adoptez , si non il valait mieux prendre ses jambes à son coup pour ne pas passer l'arme à gauche......Mais non !c'est tout le contraire, je plaisante, il était pacifique, c'était histoire d'écrire, avant d'avoir un pied dans la tombe et vivre des moments paisibles, sans tirer le diable par la queue et pour ne pas avoir l'estomac dans les talons .

C'est la raisons pour la quelle j'ai mangé ces 22 citations, histoire de tuer le temps bien que pour ma part je ne m'ennuie jamais, parfois débordé de bricole et parfois débordé à rien faire......

Ça m'arrive souvent de ne penser à rien

C'est déjà mieux que de ne pas penser du tout (Raymond Gueneau)

Et moi je ne sais pas ce que mes pensées pensent (Francis Jammes)

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15 février 2012 3 15 /02 /février /2012 16:52

 le defi 75 pour le lundi 20Février à 8 heures
 le chapeau
 celui qui rehausse la tête en toute circonstance, pas seulement la  tête mais l'être tout entier
 ne ditons pas un couvre chef pour nommer un chapeau? et voilà ça donne  de l'importance
 Ce vestimentaire qui reviens à la mode, vous transforme vous rendant  pour le coup différent
 Différent du dedans également car le chapeau c'est tout un état  d'esprit, je le vois artistique

 mais aussi comme emblème car il est le support d'apparat très diverses
 que l'on s'accroche pour le personnaliser, montrant sa différence ou bien le laissant  neutre pour ne pas se montrer
 Dans la foule qui circule, que voyez vous le mieux, c'est celui au  chapeau ou la dame élégante
 que l'on remarque d'un coup, celle avec la capeline de couleur  pastelle à l'apparat de plume
 qui semble dire  au monde une formule bien connu, qui m'aime me suive  à la façon Navarre
 "mes compagnons dieu est pour nous! nos ennemis sont les siens, ils  sont deux fois plus nombreux que nous, mais nous les vaincrons si vous perdez vos cornettes ralliez vous à mon panache blanc, vous le
trouverez sur le chemin de la gloire et de l'honneur"
 Henri de Navarre futur roi Henri IV bataille d'Ivry 15 novembre 1590
 C'est l'équivalent de qui m'aime me suive avec une large plume que  l'on vois d'une autruche qui se venge à sa façon, d'avoir une si petite tête par rapport à son  beau manteau de plume
 qui pare nombre de chapeaux, si elle savait la pauvre bête elle  sortirait la tête du sable
 enfin le chapeau pour un homme comme moi qui a dépassé les 70  printemps, c'est la chaleur
 la chaleur de mon crâne qui va s'arrêter de bouillir avec cette prose qui ne pourrait finir qu' avec
 un grand chapeau à celle qui a eu cette initiative et  qui m'a poussé  a lancer ma casquette en l'air en guise de Houra ! Et je la salut bien
 Albert

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